Podcast : une agriculture multiple, une banque unique

Depuis 1885, le Crédit Agricole accompagne les agriculteurs dans le financement de leurs installations et la transformation de leurs exploitations. Dans son nouveau podcast consacré à la transition agricole, la banque coopérative réaffirme son engagement pour un monde agricole connecté, innovant et responsable.

Circuits courts, mode de production raisonné, passage au bio, nouvelles technologies… Plus que jamais, la transition agricole ouvre le champ des possibles et esquisse de nouvelles pratiques de production et de commercialisation. Oui, le monde agricole innove, et le Crédit Agricole Aquitaine accompagne cette transformation. Dans son nouveau Moments de Vie, la banque coopérative réaffirme son soutien constant à un secteur, souvent malmené par le «agri-bashing». En quête de sens, le monde agricole cherche à se réinventer en se tournant vers des pratiques plus vertueuses. Plébiscité par 8 agriculteurs sur 10, le Crédit Agricole Aquitaine propose un accompagnement sur-mesure, avec une approche par filière. Objectif : soutenir l’innovation et financer les nouveaux défis qu’impose cette transition. La banque coopérative accompagne les agriculteurs autour de 4 grandes démarches, à retrouver sur le Podcast :

Investissements dans les technologies de précision

Pour consolider leurs marges ou chercher de nouvelles sources de revenus, les agriculteurs se tournent vers de nouvelles pratiques. Ainsi, le Crédit Agricole peut être amené à financer des ateliers de méthanisation pour valoriser les effluents d’élevage, ou soutenir des projets liés à la maîtrise de l’énergie ou la protection de l’environnement

Financement les besoins de transformation

Parce que l’agriculture raisonnée est un modèle économique en pleine croissance, de nombreux agriculteurs font aujourd’hui le choix du bio. Pour les soutenir dans leur projet de conversion, , le Crédit Agricole Aquitaine propose un accompagnement personnalisé. Très engagé sur le sujet, la banque est partenaire de l’agence Bio, et s’est associée aux Trophées de la bio-économie.

Développements des circuits courts et vente directe

Vente à la ferme, Amap, développement de circuits courts… Associé au réseau Bienvenue à la ferme et aux chambres d’agriculture, le Crédit Agricole finance les projets des agriculteurs souhaitant passer en vente directe. Pour faciliter les transactions, la banque propose également une solution monétique qui facilite les encaissements (en boutique et en ligne).

Soutien à la R&D et aux startups

Aujourd’hui, l’agriculture devient connectée, digitale, innovante. Partenaire des startups agricoles, la Caisse régionale apporte son soutien et son expertise aux jeunes pousses. Au travers de son réseau Village by CA, elle mise sur l’innovation et favorise les mises en relation avec les chefs d’entreprise et les agriculteurs traditionnels.

Retrouvez tous les conseils, les expertises et les dispositifs d’aide à la création sur le podcast spécial Transition Agricole : https://soundcloud.com/user-804153201/moments-de-vie-episode-3-transition-agricole?in=user-804153201/sets/moments-de-vie

ETICoop ou l’entrepreneuriat solidaire

Créée en 2013 à l’initiative des 2 Caisses Régionales du Crédit Agricole, ETICoop forme et accompagne les entrepreneurs dans leur projet de création d’activité nouvelle. Depuis cet automne, l’établissement accueille sa 14e promotion, dans le cadre du programme « Incubation de Projets Innovants ».

Soutenir les initiatives du territoire favorisant l’économie sociale et solidaire : telle est la vocation de l’Ecole Territoriale pour l’Innovation et la Coopération (ETICoop). Fondée il y a 6 ans, sous l’impulsion des Caisses Régionales du Crédit Agricole Aquitaine et Pyrénées Gascogne*, l’établissement se définit comme une école « sans mur », qui accompagne les entrepreneurs dans leurs projets de création. « Nous sommes partis d’un constat simple en 2013, résume Erika Solans, directrice d’ETICoop. Sur le territoire gascon, il existait des dispositifs d’accompagnement pour les start-ups ou pour les créations d’entreprise classiques… mais rien concernant les créateurs, repreneurs ou cédants investis dans l’économie sociale et solidaire. » ETICoop vient justement combler ce vide, puisque les projets retenus doivent s’appuyer sur une dimension innovante (innovation sociale, d’usage, innovation de rupture, produit…). « Ils doivent également contribuer au dynamisme territorial, et porter des valeurs coopératives et solidaires, » explique Erika Solans.

Formations collectives et coaching individuel

Chaque année, ETICoop accueille ainsi 20 porteurs de projets, sur 2 promotions, dans le cadre du programme  “Incubation de Projets Innovant”. Depuis cet automne, la 14e promotion vient d’intégrer l’établissement, après une sélection des plus rigoureuses. « Les créateurs bénéficient d’un accompagnement en 3 temps, gratuit, alternant une phase de formation collective sur 18 journées, un coaching individuel de 30 h de cours et un accompagnement par un parrain, explique Erika Solans. Les trois années sont structurées et denses. L’idée est de s’assurer que le projet est viable sur la durée. »

Plus de 200 emplois dans le Sud-Ouest

Grâce au mentorat, les porteurs de projet bénéficient de l’expertise de leur parrain, et surtout de son réseau. Un vrai coup de pouce pour les jeunes entrepreneurs ! Depuis sa création, ETICoop a contribué à la création de 91 entreprises, avec un taux de pérennité supérieur à 83 %. Soit plus de 200 emplois dans le grand quart Sud-Ouest. « Outre ce soutien à la création, qui représente 60% de son activité, ETICoop propose également un accompagnement à la transmission d’entreprise (cession et reprise), des formations pour les dirigeants des TPE/PME, des animations sur les territoires, ainsi qu’une approche R&D sur des pratiques innovantes. L’ambition en 2020 ? « Transmettre notre ingénierie pédagogique et essaimer sur le territoire national, » conclut Erika Solans. ETICoop pourrait prochainement s’ouvrir à l’international puisque un fonds d’investissement polonais s’est montré très intéressé par le concept…
* En partenariat avec l’Insup Formation et de l’Université Mondragon

Pour vous inscrire : https://eticoop.mybo.fr/

J’ai intégré une pépinière d’entreprises

David Courtois est un homme heureux ! Depuis quelques mois il a intégré la pépinière d’entreprises de Talence, au Château de Thouars, où il vit pleinement de sa passion pour la BD. Rencontre avec cet entrepreneur autodidacte, qui a toujours cru en ses rêves.

 Depuis mai dernier, la pépinière d’entreprises du château de Thouars a intégré une nouvelle recrue : Animacub ! Derrière ce drôle de nom, deux associés, David Courtois et Vincent Powell, tous deux passionnés de BD. Une passion qui est devenue aujourd’hui leur métier. « Dans un premier temps, nous étions au co-working du Château, mais très vite, il est apparu nécessaire d’avoir notre propre studio de création, » explique David Courtois fondateur d’Animacub.

Créer son réseau

Après un grand oral devant un jury composé de chefs d’entreprise, le duo est officiellement intronisé dans la pépinière ! « Travailler au sein de la pépinière est une formidable opportunité. Cela favorise l’émulation et permet de créer son propre réseau en rencontrant de nombreuses personnes, venues d’horizons différents, confie David Courtois. Chaque mois, les membres de la pépinière se rencontrent autour d’un déjeuner. Nous avons également la possibilité de suivre de nombreuses formations – réseaux sociaux, ventes, etc – pour se tenir informés des dernières tendances. C’est vraiment un environnement propice aux projets et aux échanges, comme un incubateur. On apprend plein de choses et on est réellement accompagné dans notre projet. »

Rédaction d’une bible des personnages

Un projet audacieux, qui concrétise un rêve de gosse ! « Autant que je m’en souvienne, j’ai toujours voulu faire de la BD, se rappelle David Courtois. Je me suis formé à l’animation sur le tard, via un financement Fongecif. J’ai intégré une école de graphisme, et c’est là que j’ai rencontré Vincent, mon associé ! ». C’est là aussi que l’aventure Animacub a démarré pour les deux amis. Depuis, le duo collabore avec des grands noms de la BD fantastique, notamment des auteurs-scénaristes des albums de la série “Elfes“ (ed.Soleil). « Vincent est coloriste : il reçoit les planches en noir et blanc et gère toute la colorisation des dessins et de l’atmosphère. De mon côté, j’apporte mon regard sur le synopsis, j’aide à la relecture et je suis en charge de la rédaction d’une Bible des personnages. »

Fidèle au Crédit Agricole de père en fils


Client du Crédit Agricole Aquitaine, David a pu compter sur le soutien de la banque dès le début. « Ils ont toujours cru en nous, c’est très appréciable car nous travaillons sur des projets à long terme : entre le synopsis, les dessins et la mise en couleur, il faut compter 2 ans de création ! » Pourquoi le Crédit Agricole et pas une autre banque ? Par pure fidélité ! Depuis plus de 50 ans, la banque mutualiste accompagne toute la famille Courtois, de père en fils ! « J’apprécie cette relation pérenne, fondée sur la proximité, l’écoute et l’échange. On n’est pas considéré comme un numéro de dossier, mais comme des porteurs de projet : cela fait toute la différence. »
Et question projets justement, Animacub en a plein la tête ! La petite agence planche actuellement sur les séries des terres d’Arran (Elfes, Nains, Mages…) ainsi que sur le tome 3 de la BD Azaqi… « Nous collaborons également sur un jeu coopératif « Dream Quest », dont l’enfant est le héros. » Une affaire à suivre donc, avec une sortie prévue l’an prochain, aux éditions Asmodée.

Le Crédit Agricole séduit les Millenials !

Selon le dernier classement YouGov*, Netflix reste la marque préférée des Millenials pour la troisième année consécutive, devant Facebook et Instagram. Fait nouveau cette année : le Crédit Agricole est la marque qui progresse le plus entre 2018 et 2019. Qui sont le Millenials ? Quelle sont leurs valeurs ? Leurs modes de consommation ? Le point avec Baptiste Baradat creative producer chez P.Y.T Paris.

On les dit urbains, ultra-connectés, sensibles aux causes environnementales… Ils seraient aussi individualistes, infidèles, inventifs, impatients. Mais peut-on résumer les Millenials à ces « 4 i. » ? Agés de 25-34 ans, la génération Y fait couler beaucoup d’encre. En France, elle représenterait 16 millions de personnes contre 73 millions aux Etats-Unis. C’est donc une tribu très hétéroclite, caméléon, mais aussi… très friande des réseaux sociaux. « Les Millenials se démarquent des X (1965/79) par l’arrivée des nouvelles technologies avec l’explosion de l’informatique, du web et du smartphone. Des outils dont ils ont connu l’apparition et dont ils maîtrisent les évolutions, explique Baptiste Baradat, creative producer à P.Y.T Paris et intervenant professionnel à Sup de Pub Bordeaux. C’est la génération des GAFANU**. Leur sainte trinité ? Netflix, Uber et Deliveroo ! »

Netflix, Facebook & Crédit Agricole


Le dernier classement YouGov sur « Les Millenials et les Marques » illustre à merveille ces tendances. Sans surprises, le géant du streaming Netflix se hisse à la première place pour la troisième année consécutive, devant Facebook (2e), Airbnb (3e) tandis que Snapchat et Instagram se placent respectivement à la 6e et 9e place. Bonne nouvelle, avec une augmentation de 10 points sur le score bouche-à-oreille, la banque Crédit Agricole est la marque qui progresse le plus entre 2018-2019 !

Valeurs coopératives et éthique

Il faut dire que la banque coopérative a su séduire les jeunes grâce à ses tarifs compétitifs et sa plateforme dédiée aux créateurs d’entreprise (jesuisentrepreneur.fr). « Les Millenials montrent un vif intérêt pour l’économie collaborative, souligne Baptiste Baradat. En quête de sens et de justice, ils sont tournés vers l’économie sociale et solidaire, et ont développé une forte conscience environnementale. La marque Crédit Agricole porte en elle-même leurs valeurs : en effet, la notion de « terre » est perçue de façon très positive aux yeux des Millenials. » Le Crédit Agricole est également une banque mutualiste, qui permet à ses clients-sociétaires de s’impliquer pleinement dans sa vie coopérative. « Là encore, c’est une notion forte auprès des Millenials, qui souhaitent avant tout être des « consomm’acteurs. Enfin, n’oublions pas que la génération Y a connu la crise de 2008-2009, et porte un regard négatif sur la spéculation et l’actionnariat. L’ADN coopératif du Crédit Agricole se veut rassurant et porteur d’éthique et d’équité. »

Freelance et nomadisme

Génération tiraillée entre un modèle paternaliste et technologique, les Millenials vont, dans tous les cas, bouleverser la donne dans le monde de l’entreprise. La tendance au nomadisme, au freelancing, au remote working a entraîné une dissolution de frontière de l’espace de travail et de la vie privée/vie professionnelle. Ainsi, ils ont développé une véritable culture du changement, qu’ils vont donner en héritage à la « Gen Z », la nouvelle génération montante…

 

*YouGov a établi le classement des marques qui suscitent le plus d’intérêt chez les Millennials. Ce classement est fondé sur l’indicateur de Bouche-à-Oreille positif auprès des 18-34 ans.
** Google/Apple/Facebook/Amazon+Netflix/Uber).

Alter’NA : un fonds qui cultive la transition agricole !

La Région Nouvelle-Aquitaine et le fonds Européen d’Investissement (FEI) ont développé Alter’NA, un nouveau fonds de garantie publique. Partenaire de l’opération, le Crédit Agricole Aquitaine soutient cette initiative qui vise à accélérer la transition agricole.

Lancé en octobre dernier, Alter’NA (Alternative en Nouvelle-Aquitaine) est un fond de garantie publique de 30 millions d’euros, abondé par deux fonds européens (Feader et Juncker). « Ce nouveau dispositif vise à faciliter l’accès au crédit dans le secteur agricole et agro-alimentaire, afin d’accélérer le transition,» précise Ludovic Charbonnier Responsable Marché Agriculture Forêt et Mer au Crédit Agricole Aquitaine.

Le fonds s’adresse principalement aux exploitants agricoles et aux entreprises agro-alimentaires en Nouvelle-Aquitaine. « Sont également concernés les viticulteurs engagés dans une démarche de Haute Valeur Environnementale (HVE) de niveau 2 ou 3, souligne Ludovic Charbonnier. Sur les 3 prochaines années, Alter’NA devrait permettre de générer 200 millions d’euros de prêts. »

Plus de caution personnelle ou d’hypothèque foncière

Soutien aux circuits courts et à la vente directe, production de fruits et légumes sous serre, accompagnement pour la transition des exploitations d’élevage… Autant de projets soutenus par Alter’NA, qui vient également en appui aux industries agro-alimentaires pour le développement de produits bios. Pour l’exploitant, les avantages du fonds Alter’NA sont nombreux. La garantie est gratuite, et il n’a plus besoin d’engager sa caution personnelle ou d’hypothéquer son foncier pour bénéficier d’un prêt d’investissement ou de développement. A cela s’ajoutent des conditions préférentielles sur le taux.
Les premiers résultats sont prometteurs, et le Crédit Agricole Aquitaine espère séduire près de 5.000 agriculteurs sur ses 7 caisses régionales.

Paylib : le paiement mobile en ligne, en magasin, entre amis !

Disponible auprès de toutes les banques de détail, dont le Crédit Agricole, la solution de paiement mobile Paylib permet de régler ses achats en magasin via son smartphone, de transférer de l’argent par sms ou de payer en ligne. Le point avec Fabienne Réon Dupouy, responsable Filière Flux au Crédit Agricole d’Aquitaine.

Paylib sonne-t-il le glas de la carte bancaire ou de l’argent sonnant et trébuchant ? La question peut prêter à sourire. Pourtant ce nouveau dispositif, adopté par toutes les banques françaises, annonce une petite révolution dans nos portes-monnaies. Ce service de paiement permet en effet de payer en ligne sans saisie de numéro de carte, de régler ses achats via son smartphone et même de transférer de l’argent par SMS. Un vrai portefeuille électronique qui devrait séduire les clients ! « Concrètement, Paylib s’appuie sur la technologie du sans contact, explique Fabienne Réon Dupouy, responsable Filière Flux au Crédit Agricole d’Aquitaine. Tous les terminaux de paiement (TPE) fonctionnant sur cette technologie sont compatibles avec la solution interbancaire Paylib… Soit 720 000 TPE en France ! »

Authentification renforcée


Pour utiliser Paylib, rien de plus simple. Il suffit de cliquer sur son appli Ma Carte depuis un smartphone et de sélectionner la carte bancaire qui servira aux achats. Une fois en caisse, le client n’a plus qu’à approcher son mobile du TPE pour régler ses achats, jusqu’à 300 €. Intérêt immédiat pour le client : pas de numéro de carte bancaire qui circule pendant la transaction (un avantage précieux pour les achats en ligne) ni de code à saisir. Il bénéficie en outre d’une authentification renforcée, en validant le paiement grâce à son empreinte biométrique.

Moins d’attente en caisse


« Les avantages pour les commerçants sont également nombreux, précise Fabienne Réon Dupouy. Dans un premier temps, moins d’attente en caisse, une garantie de paiement identique à celle de la carte bancaire, avec le même taux de commission. » Paylib ouvre également de nouvelles opportunités de gestion du parcours client, avec la possibilité d’associer au paiement une carte de fidélité, des coupons de réduction embarqués ou une analyse des données plus poussée. Cette solution de paiement mobile est accessible sur tous les smartphones Android, Apple Pay gardant la primauté sur ses mobiles.